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Journal de voyage

Depuis la page Facebook Profitez de la Guadeloupe

Isola di Marie-Galante

 

 

 

 

 

 

 

27 janvier 2020

Marie-Galante, rêve à 360 °

 

Et même cette journée s'est lentement terminée, et comme promis, mon histoire mettra en valeur tous les passages de randonnées qui ont caractérisé cette deuxième journée de séjour sur l'île de Marie-Galante.

 

Avant de commencer la visite des plages de Saint-Louis, il fallait cependant faire une pause dans un restaurant situé sur la plage de la ville au milieu des palmiers typiques avec une vue romantique sur la mer bleue. Le déjeuner a été suivi d'une courte sieste sur la même plage, puis du parcours le long de l'état 9, pour découvrir les beautés marines de Saint-Louis.

 

Malheureusement, le manque de temps, distrait par la visite imprévue des vestiges de la maison Roussel-Trianon, ne m'a pas permis de découvrir la ville de Grand Bourg. Cependant, j'espère le faire entre mardi soir ou mercredi au plus tard avant de m'embarquer pour Point-à-Pitre.

 

Mais revenons à nous. A la fin de la visite de la Greule Grand Gouffre, comme mentionné, j'ai eu un repas typique du lieu. Un tour de patrouille de la région, et j'en ai choisi un caractéristique, abordable comme prix, et très tendance! Sans tarder je me suis assis et on m'a servi du poisson grillé avec salade et une portion de riz, le tout accompagné d'une bière. Impressionnant! Je me sens renaître et même un peu endormi, la chaleur du jour s'est fait sentir, donc une sieste régénérante était nécessaire.

En fait, cela m'a pris une vingtaine de minutes et je suis prêt à commencer l'excursion parmi les fabuleux virages de Saint-Louis.

 

Le long de la route qui s'étend vers le nord de l'île, j'ai vu une plage plus belle que l'autre. Mer céleste dense, sable très clair et végétation abondante. La grande surprise n'a pas été de voir les palmiers classiques, mais le spectacle était tout de même exceptionnel. Le premier virage sur lequel je me suis arrêté était celui de Canot.

 

La plage, entourée d'une épaisse végétation, est accessible après avoir suivi un court chemin qui mène à un grand parking et à une zone adjacente équipée de tables de pique-nique et de barbecues. Ici, en effet, de nombreuses familles étaient présentes pour déjeuner. La plage s'étend sur plusieurs centaines de mètres avec une splendide vue frontale sur les deux îles de la Guadeloupe, la Grande Terre et la Basse Terre, d'où se détache le volcan Soufrière. Quelques minutes de contemplation, puis le transfert à la plage voisine, située sur la commune de Vieux-Fort.

 

Cet emplacement en plus d'attirer de nombreux baigneurs, accueille un petit port fluvial. De l'autre côté de la plage, en effet, il y a un grand parking avec une zone équipée pour embarquer sur la rivière qui tire son nom de la commune du même nom, avec des pédalos et des canoës à louer.

 

Il est temps de prendre des photos et des vidéos, de se rafraîchir dans le splendide plan d'eau, puis de partir à la recherche de la dernière merveille de la journée. A quelques kilomètres de là, et dans un petit espace d'une cinquantaine de mètres, se trouve le petit coude de Bambou, une carte postale aux couleurs pastel, comme pour ressembler à un tableau d'auteur. La mer est magnifique, je n'avais vu qu'un ciel bleu aussi dense lors d'une croisière à Antigua.

 

J'en profite un peu plus, assez pour m'autoriser un autre bain régénérant. Ici, le taux d'approbation a atteint son apogée, également parce que j'ai combiné une belle nage au rythme de la salle de bain. Avec cette plage je ferme la première partie de la visite de l'après-midi et commence celle prévue à Grand Bourg.

 

Le long de la route qui mène à cette ville, une fabrication exceptionnelle d'autrefois s'ouvre à ma vision, un vaste espace au sein duquel une pelouse bien entretenue accueille une ancienne sucrerie appartenant à la famille Roussel-Trianon au début des années 1800. La structure est trop belle et intéressante pour ne pas être visitée, et donc malgré l'excursion à Grand Bourg, qui peut être reprogrammée à un autre moment, je décide de me consacrer à ce joyau d'autrefois datant du XVIIe siècle.

 

D'après les panneaux d'information, j'apprends que l'ancienne sucrerie, dans la période 1720-1740, appartenait à Nicola Bonhomme, créole de Marie-Galante, puis de la famille Fossecave, et avant de passer finalement aux mains de Roussel-Trianon, elle appartenait à Botreau- Roussel. Enfin, on dit que le moulin construit par Trianon serait l'un des plus beaux de toute l'île, grâce aussi à sa majestueuse solidité, construit avec des techniques de construction et des technologies d'exploitation, innovantes pour l'époque. En résumé, un complexe architectural intéressant à visiter sans hésitation.

 

Avec cette découverte intéressante, je clôture le deuxième jour de séjour sur l'île de Marie-Galante, une journée pleine d'émotions et de connaissances qui ont fait de ce voyage une expérience culturelle et professionnelle inoubliable.

21,34 heure locale, 2,34 de vous, encore et encore.

 

 

 

 

 

 

 

Biglietti battelo

 

 

 

 

 

 

 

 

28 janvier 2020

Les Saintes, le dernier paradis

 

Avec l'excursion d'aujourd'hui aux Saintes, cette fantastique expérience de voyageur solitaire parmi les perles de l'archipel guadeloupéen est presque terminée. La destination d'aujourd'hui m'a amené à visiter Terre-de-Haut le seul, parmi les 6 îlots des Saintes, accessible via le service de ferry au départ de Sainte-Françoise à Grande Terre.

 

Terre-de-Haut, par rapport aux îles restantes de l'archipel, dont je me souviens être Terre-de-Bas, la Coche, Ilet à Cabrit et Grand Ilet, est un lieu vraiment enchanteur, très touristique, au point qu'en 2019 c'était le Destination caribéenne préférée des Français, et où les temps de vie sont strictement lents. Parmi les sites culturels et naturels d'un intérêt particulier, on trouve le Fort Napoléon, l'église Notre-Dame de l'Assomption, et clairement quelques plages renommées, comme celle de Pompierre, la crique de Cointe avec la crique du Pain de Sucre dont elle est issue le fameux Pain de Sucre est visible.

 

Depuis la route principale, située sur le côté ouest de l'île, il y a des rues étroites et des sentiers qui vous permettent d'admirer de magnifiques vues naturelles et d'atteindre de beaux virages, le tout à travers des montées et des descentes vertigineuses d'environ 2 kilomètres. La ville regorge de boutiques, de restaurants, de bars et de bureaux pour la location de voitures, de scooters et de vélos électriques, le tout dans des maisons colorées et des chambres au style typiquement caribéen. Dans le virage de Bourg, où se trouvent le quai des ferries et le centre commercial de l'îlot, se trouve un petit port plein de petits bateaux, tandis qu'au large, face à Terre-de-Bas, yachts et catamarans sont amarrés. confirmant une forte présence touristique d'élite.

 

Bon, quand je suis arrivé au port, j'ai mis quelques minutes pour faire une sorte de cadrage topographique avec mon précieux compagnon de voyage, la carte, puis, après avoir loué un vélo électrique (ici la rugosité est prohibitive avec des pentes de 13-15% pour de longues périodes), je commence l'excursion en me dirigeant vers le Fort Napoléon, un lieu imposant sur la colline de la Mire d'où l'on peut admirer une vue imprenable et colorée sur la baie de Bourg en contrebas.

 

La forteresse, construite entre 1844 et 1867, comme mentionné, offre une vue incroyable. En plus des îles de l'archipel, au loin il est possible de voir la Dominique, la Dèsirade et la Guadeloupe. À l'intérieur se trouvent un jardin botanique et un musée qui raconte l'histoire des Saintes. Je quitte le fort et me dirige vers la plage tant plébiscitée par de nombreuses publications, la plage de Pompierre, en passant, sans m'arrêter longtemps pour la ravissante baie de Marigot qui l'immortalise aussitôt avec une photo panoramique.

 

Encore quelques centaines de mètres et me voici sur la plage de Pompierre. Longue d'environ 200 mètres, la plage dispose d'une grande zone équipée couverte de grands cocotiers, de sable très léger et d'une mer pas trop spectaculaire. Les plages visitées hier à Saint-Louis, en comparaison, sont des paradis.

 

J'arrête avec la tentation de me mouiller (la température élevée commence à se faire sentir), mais ensuite j'y pense et continue vers anse a Counte pour admirer la petite crique du Pain de Sucre. En chemin, je traverse la pittoresque église dédiée à Notre-Dame de l'Assomption, en m'arrêtant pour la visiter.

 

De nombreux touristes étaient présents, dont certains se sont assis irrespectueusement sur les marches pour admirer la rue en contrebas. J'entre, une prière et je m'en vais au Pain de Sucre. Arrivé au point où il n'était plus possible de continuer avec le vélo, le parking à côté de beaucoup d'autres, et je démarre le long d'un chemin très cahoteux couvert de végétation et de restaurants bondés situé au bord de la descente.

 

Je quitte cette rue et une merveilleuse vision s'ouvre. Eaux vert émeraude, sable clair et derrière le petit rivage un parc parsemé de grands cocotiers.

Le fameux Pain de Sucre, une colline d'une trentaine de mètres de haut recouverte d'une végétation dense, dont quelques cactus, se dresse de façon imposante des eaux splendides me laissant à bout de souffle. Puisque l'endroit le méritait, je décide donc de m'arrêter, de déjeuner et de commencer à raconter, avec la bonne inspiration, la première partie de la journée aux Saintes.

Après plus d'une heure de détente, je me ressaisis pour reprendre le voyage pour me diriger vers la boucle de Crawen. Deux cents mètres de crique, très sauvage, avec une colonie de poules et poules colorées qui courent tranquillement sous la petite pinède dans l'espoir de recevoir quelque chose à manger des quelques touristes qui se sont arrêtés pour le déjeuner.

 

La petite crique fait face à l'îlot de Grad Ilet avec l'immense rocher de La Coche à droite et celui de La Redonde à gauche. L'endroit n'est pas que ça m'ait beaucoup impressionné, alors je quitte la boucle Crawen, et pour clôturer la journée je me dirige vers la boucle de Friguier. C'est aussi très sauvage, mais rien de spécial. Et avec cette petite plage, la journée aux Santies s'achève lentement.

 

Dans son ensemble, Terre-de-Haute ressemble à une île élégante, avec ses maisons colorées toutes strictement couvertes de toits rouges comme celui de la pittoresque mairie, avec une conformation très captivante du territoire due aux nombreux promontoires et collines qui renvoient des criques séduisantes à la surface.

 

Parmi les plages, je donnerais le sceptre au Pian de Sucre, en second lieu je mettrais la plage de Pompierre (un peu déçue, je pense que beaucoup de textes doivent être mis à jour), et en troisième la boucle de Crawen. Il y a encore beaucoup à visiter, mais le temps presse et le bateau de 17h30 n'attend pas.

Un vote pour l'île? 9.

Au revoir mes amies.

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